Chaque hiver, une couche de glace épaisse recouvre le lac Opinicon en Ontario. C'est dans cet environnement sombre et froid que les tortues géographiques hibernent sans accès à l'air ni à l'oxygène. Et c'est ici, équipées des technologies les plus récentes, qu'elles deviennent les yeux et les oreilles des scientifiques. La tortue géographique fait face à plusieurs défis dont le réchauffement climatique qui affecte la température de son habitat et l'expansion de la circulation maritime qui augmente la pollution sonore dans son habitat et le risque de blessures. La manière dont elle fait face à ces défis la rend une partenaire de recherche indispensable pour les biologistes.

Au Canada, le lièvre d'Amérique est considéré comme le petit gibier le plus important au pays parce qu'il est une source d'alimentation essentielle pour plusieurs espèces d'animaux qui vivent dans la forêt boréale. Si sa population diminue, ses prédateurs ont du mal à se nourrir. Habituellement, le pelage du lièvre, dont la couleur change avec les saisons, l'aide à se cacher. Mais les chercheurs remarquent, qu'à la suite des changements climatiques, le lièvre n'arrive plus à changer la couleur de son pelage avec les saisons. À Terre-Neuve, Joanie Kennah étudie le lièvre d'Amérique afin de savoir si son comportement se modifie lorsqu'il est plus vulnérable.

Qu'ils volent, qu'ils bondissent ou qu'ils habitent les plus hautes cimes du monde, les pros de la haute voltige ne sont pas tous des oiseaux. Le règne animal regorge de têtes fortes qui visent toujours plus haut - que ce soit en fendant l'air, en se balançant d'une branche à l'autre, en plongeant du haut d'un immeuble ou même en défiant l'apesanteur. Dans ce compte à rebours de 20 à 1, on atteint de nouveaux sommets et on découvre les trois espèces qui trônent sur le podium de l'acrobatie aérienne.

Dans les régions les plus chaudes de la planète, chaque espèce doit se battre pour survivre.

La famille, c'est plus compliqué qu'on pourrait le croire! Pour certains animaux, comme les zèbres de Grévy, elle n'est pas indispensable. Pour d'autres, comme les hyènes, elle est une source de privilège. Le noeud familial peut prendre plusieurs formes, qu'il soit élargi ou recomposé. Laissez-vous séduire par ces histoires de diverses familles du règne animal!

Nous nous croyons au-dessus des autres animaux, mais sommes-nous si uniques? Dressant mille comparaisons fascinantes, Animalement vôtre retrace notre évolution en tant qu'humains. Des changements physiques cérébraux et corporels qui ont assuré notre succès planétaire à nos comportements propres, ce film révèle ce qui nous rapproche et ce qui nous distingue dans le règne animal.

Savez-vous que les animaux sont dans le même bateau que les humains depuis l'émergence de la COVID 19? Au zoo, on a dû organiser une campagne de vaccination plus mouvementée que la moyenne!

Chez les animaux, si certains sont équipés pour résister à la morsure du froid, d'autres sont des proies faciles quand ils tombent dans les griffes de l'hiver!

Dans la nature comme au zoo, l'isolement peut jouer un rôle utile dans la vie des animaux.Voilà pourquoi on visite dans cet épisode des animaux qui sont en « retraite fermé e» pour toutes sortes de bonnes raisons.Cet épisode est donc consacré à une mandrill rendue à l'âge de vouloir la paix, à des wallabys qui trouvent que la solitude se vit mieux en équipe de deux, à un camp de réfugiés pour caïmans et à des loriquets éclopés qui font bande à part.

La communication, c'est complexe! Comment deux espèces (humain-animal) parviennent-elles à se faire comprendre sans parler le même langage? Comment interpréter le langage non verbal (posture, position des oreilles, bâillement, grimace), est-ce que les signaux visuels signifient la même chose chez l'animal que l'humain (un mandrill qui bâille, signe de dominance?), comment les animaux communique-t-il entre eux, la douleur, la peur, etc. Comment ne pas tomber dans le piège de l'anthropomorphisme...Dans cet épisode, on découvre l'ABC de la communication avec les gorilles, on fait la connaissance des perroquets aras qui savent se faire comprendre sans parler, on réagit à l'art de saluer chez les tigres et on sourit avec les mandrills et leurs mimiques

Déménager dans un nouveau pays signifie s'adapter, perdre ses repères, son réseau. C'est la même chose pour les animaux. Comment réagissent-ils quand ils arrivent dans une nouvelle institution? Comment facilite-t-on les changements d'habitat, de gardiens et d'environnement? Comment rencontre-t-on nos nouveaux colocataires? Dans cet épisode, on assiste à l'arrivé par avion d'une lionne au Québec, on participe à l'intégration des nouveaux macaques japonais mâles en provenance des États-Unis qui sont au zoo pour la reproduction, on fait la rencontre de Tulum l'éléphant qui parlait allemand et on sot les mouchoirs pour dire au revoir à Eugène le Callimico qui prend l'avion en direction d'Edmonton.

Même s'ils sont munis d'un instinct de survie très fort, les animaux savent aussi, tout comme nous, se détendre et avoir du plaisir. Boire, manger, se faire gratter... ou même s'accoupler procurent un plaisir important et vital. Cet épisode est donc consacré aux petits et grands plaisirs qui pimentent la vie des animaux du zoo : des jaguars qui s'adonnent au plaisir de la bûche à viande, des sakis à face blanche qui savourent les joies du toilettage, des jeunes chèvres qui ont un fun noir à être des jeunes chèvres et des animaux qui partagent un penchant pour la brosse!

Sébastien présente à son invité, Dave Morissette, une crevette colorée qui a un coup de poing plus puissant que le sien, des reptiles très affectueux, un petit mammifère qui a la tête dure et un animal miroir qui provoque de grands fous rires sur le plateau!