L'avenir de nos transports réside-t-il dans la diminution et la rationalisation de nos déplacements, grâce à des lieux de vie, de travail et de loisirs rassemblés ? Ou bien peut-on entrevoir une Europe reliée par un réseau Hyperloop à 1000km/heures, comme un métro à échelle du continent, alimenté au solaire et remplaçant totalement les vols court-courriers ? Quoi qu'il en soit, tout le monde s'accorde en tous cas sur une chose : à l'avenir, c'est le véhicule qui nous conduira, et plus l'inverse.

Une révolution alimentaire se profile, mais laquelle ? L'élevage pourrait disparaitre au profit d'usines de protéines issues de microbes, ou au contraire, notre salut pourrait venir de ce que l'on connaît déjà, l'agriculture biologique en pleine terre, gérée par l'intelligence artificielle. Une autre version du futur, plus pessimiste, consiste à penser que nos assiettes seront remplacées par des aliments encapsulés, bons pour la santé certes, mais sans saveur ni convivialité.

En 2080, le spectateur n'est plus passif, mais partie intégrante de son divertissement. L'explosion du métavers est même comparé à la révolution constituée par l'invention du cinéma : bientôt, on pourra vivre une expérience immersive en temps réel, partagée avec une foule dispersée dans le monde entier. La barrière entre le virtuel et réel s'affine inexorablement, et à nous de décider comment utiliser cette évolution pour le meilleur de notre divertissement.

Comme bien des gens très occupés, Sébastien rêve de moins dormir pour allonger ses journées. Mais peut-il fonctionner en dormant juste 15 minutes toutes les quatre heures? Il fait le test sur une période de 24 heures ! Ce qui lui donne amplement le temps d'interroger une spécialiste sur les effets du manque de sommeil et un «ultracycliste» qui a roulé 6800km en 19 jours. Son secret pour y arriver : dormir le moins possible !

En tant que gars qui travaille avec la radioactivité au quotidien, Sébastien veut améliorer sa compréhension des dangers de la radioactivité mais aussi apprécier ses avantages. Pour ce faire, Sébastien rencontre la responsable de la radioprotection au CHUM. Il interroge un expert pour savoir à quel point on est exposé à la radioactivité dans la vie de tous les jours. Enfin, il nous explique que les dangers de la radioactivité sont probablement moins dans le risque d'une bombe atomique que dans nos sous-sols.

Avec Isabelle Tremblay de l'Agence spatiale canadienne, l'astronaute David St-Jacques et Félix Lajeunesse, du Studio Felix & Paul, Pierre-Yves se penche sur cette question fascinante : serait-ce possible d'habiter un jour l'espace? Quels sont les obstacles, les connaissances à acquérir et les technologies à développer pour atteindre cet objectif ? Et comment préparer l'homme physiquement et psychologiquement à des explorations de longue durée dans ce milieu particulièrement hostile.

Grâce aux diverses missions du nouveau millénaire, nous élargissons aujourd'hui le champ de nos connaissances en quête des grands secrets de l'univers. Nous vivons possiblement la période la plus passionnante de l'étude spatiale depuis 40 ans. Avec Julie Bellerose, de la mission Dart, Mireille Couston, professeur du Droit International et Marie-Michèle Limoges, directrice au contenu scientifique au Cosmodôme, Pierre-Yves explore les différentes facettes de ce deuxième âge spatial et les impacts sur Terre de ces innovations technologiques spatiales. Enfin, il ouvre une fenêtre sur un futur possible de l'être humain, repoussant toujours les frontières de l'exploration du cosmos

En 2080, l'intelligence artificielle sera capable de connaitre tout de nos biomarqueurs génétiques, et d'ainsi suivre à la trace nos constantes vitales et nos modes de vie, de manière à éviter la plupart des maladies chroniques. Chaque membre ou organe blessé pourra être remplacé par des substituts artificiels aux performances bien supérieurs à nos compétences naturelles. La frontière entre l'homme soigné et l'homme "augmenté" n'existera plus. Ce qui soulève quelques questions éthiques...

L'avenir de nos transports réside-t-il dans la diminution et la rationalisation de nos déplacements, grâce à des lieux de vie, de travail et de loisirs rassemblés ? Ou bien peut-on entrevoir une Europe reliée par un réseau Hyperloop à 1000km/heures, comme un métro à échelle du continent, alimenté au solaire et remplaçant totalement les vols court-courriers ? Quoi qu'il en soit, tout le monde s'accorde en tous cas sur une chose : à l'avenir, c'est le véhicule qui nous conduira, et plus l'inverse.

Une révolution alimentaire se profile, mais laquelle ? L'élevage pourrait disparaitre au profit d'usines de protéines issues de microbes, ou au contraire, notre salut pourrait venir de ce que l'on connaît déjà, l'agriculture biologique en pleine terre, gérée par l'intelligence artificielle. Une autre version du futur, plus pessimiste, consiste à penser que nos assiettes seront remplacées par des aliments encapsulés, bons pour la santé certes, mais sans saveur ni convivialité.

En 2080, le spectateur n'est plus passif, mais partie intégrante de son divertissement. L'explosion du métavers est même comparé à la révolution constituée par l'invention du cinéma : bientôt, on pourra vivre une expérience immersive en temps réel, partagée avec une foule dispersée dans le monde entier. La barrière entre le virtuel et réel s'affine inexorablement, et à nous de décider comment utiliser cette évolution pour le meilleur de notre divertissement.

L'explorateur Victor Vescovo et son équipe se lancent dans une mission héroïque : sonder les profondeurs extrêmes du redoutable océan Atlantique. Ils partent avec leur tout nouveau vaisseau exploratoire et leur sous-marin prototype - une prouesse d'ingénierie valant aussi peu que 35 millions de dollars. L'équipe se rend au large de l'île de Porto Rico, dans une fosse abyssale à huit kilomètres sous la surface de l'eau qui est aussi un vaste canyon et, encore aujourd'hui, une ligne de faille sismique. Outillés de caméras et de pièges, les scientifiques filment et analysent les créatures de l'extrême qui parviennent à survivre dans l'obscurité totale sous la pression écrasante des eaux - et découvrent ainsi quatre nouvelles espèces.

L'explorateur de l'extrême Victor Vescovo et son équipe affrontent le plus dangereux des océans : l'océan Austral, qui encercle le continent glacé de l'Antarctique. Ils esquivent les icebergs, combattent de violentes tempêtes et affrontent les eaux d'un froid polaire à la recherche du point le plus profond de l'immense fosse des îles Sandwich du Sud. S'ils ont perdu de précieuses pièces d'équipement dans les mers agitées, les scientifiques réussissent néanmoins à filmer deux espèces inconnues de « limaces de mer » - vivant à des profondeurs où aucun autre poisson ne va.

L'explorateur des fonds marins Victor Vescovo et son équipe nous emmènent explorer l'océan Indien, le plus chaud de tous, qui abrite une fosse abyssale où nombre de terribles tsunamis se déclenchent. Dans ces confins mystérieux, l'équipe découvre une imposante paroi à pic où fourmillent des colonies de bactéries qui se nourrissent de substances chimiques, et dont l'effondrement pourrait provoquer un raz-de-marée catastrophique.

L'aventurier de l'extrême Victor Vescovo et son équipe s'attaquent à l'Everest de l'exploration océanique : la fosse des Mariannes, qui est, à près de 11 000 mètres sous la surface de l'eau, la zone la plus profonde de notre planète. Dans ses régions les plus abyssales, l'équipe fait de remarquables découvertes : des communautés bactériennes qui nous montrent que la vie pourrait exister dans d'autres environnements océaniques extrêmes de notre système solaire, et une espèce jusqu'alors inconnue de poisson au crâne transparent.